samedi 24 octobre 2009
TOUS LES LIVRES QUE J'AI LU ET QUE JE VOUS CONSEILLE :
-Robinson Crusoé
-Claudine de Lyon
-Harry Potter à l'école des sorciers
-Harry Potter et la chambre des secrets
-Harry Potter et le prisonnier d'Azkaban
-Harry Potter et la Coupe de Feu
-Harry Potter et l'Ordre du Phénix
-Harry Potter et le prince de Sang mêlé
-Harry Potter et les Reliques de la Mort
-L'île aux trésors
-La gloire de mon père
-Arthur et les minimoys
-Arthur et la cité interdite
-Arthur et la guerre des deux mondes
-L'Aîné
-La guerre des fées
-Le temps des dragons, l'ère des ténèbres
-Le monde de Narnia, le neveu du magicien
-Le monde de Narnia, le lion, la sorcière blanche et l'armoire magique
-Le monde de Narnia, le cheval et son écuyer
-Le monde de Narnia, le prince Caspian
-Le monde de Narnia, l'odyssée du passeur d'aurore
-Le monde de Narnia, le fauteuil d'argent
-Le monde de Narnia, la dernière bataille
-Le château de ma mère
-Les royaumes du Nord
-La tour des Anges
-Le miroir d'ambre
-Artemis Fowl
-Artemis Fowl, mission polaire
-Artemis Fowl, code éternité
-Eragon
-Brisingr
-Arthur et la vengeance de Maltazard
-Artemis Fowl, opération Opale
-Le dernier Elfe
-Chroniques des temps obscurs, frère de Loup
-Artemis Fowl, colonie perdue
-Cœur d'encre
-Le dernier Orque
-L'empereur Pourpre
-Les chevaliers d'Émeraude, le feu dans le ciel
-Les Hauts de Hurle-Vent
-Les chevaliers d'Émeraude, les dragons de l'Empereur Noir
-Le livre des Étoiles, Quadehar le sorcier
-Le livre des Étoiles, le seigneur Sha
-Le livre des Étoiles, le visage de l'Ombre
-Magyk
-Magyk, le grand Vol
-L'odyssée
-Harry Potter, les contes de Beedle le Barde
-Chroniques des temps obscurs, fils de l'eau
-Le petit prince
-Jane Eyre
-Le magicien d'Oz
-Sans Atout et le cheval fantôme
-Le roi Arthur
-Chaire de Poule, enlevés par des extraterrestres
-Yvain ou le chevalier au lion
-Journal d'une princesse, la grande nouvelle
-La sixième
-Twilight, fascination
-Twilight, tentation
-Twilight, hésitation
-Twilight, révélation
-Le seigneur du Royaume
-Le destin des Fées
-Chroniques des temps obscurs, les mangeurs d'âmes
-Artemis Fowl, le dossier
-Stoneheart
-Sans Famille
-Main de Fer
-La conspiration Merlin
-Graceling
-Au bonheur des dames
-Le secret de Moonacre
-Chroniques du bout du monde, par-delà les grands Bois
-Tobie Lolness
-Les sirènes
-Vingt mille lieues sous les mers
-Mes secrets
-Artemis Fowl et le paradoxe temporel
-Sang d'encre
-Claudine de Lyon
-Harry Potter à l'école des sorciers
-Harry Potter et la chambre des secrets
-Harry Potter et le prisonnier d'Azkaban
-Harry Potter et la Coupe de Feu
-Harry Potter et l'Ordre du Phénix
-Harry Potter et le prince de Sang mêlé
-Harry Potter et les Reliques de la Mort
-L'île aux trésors
-La gloire de mon père
-Arthur et les minimoys
-Arthur et la cité interdite
-Arthur et la guerre des deux mondes
-L'Aîné
-La guerre des fées
-Le temps des dragons, l'ère des ténèbres
-Le monde de Narnia, le neveu du magicien
-Le monde de Narnia, le lion, la sorcière blanche et l'armoire magique
-Le monde de Narnia, le cheval et son écuyer
-Le monde de Narnia, le prince Caspian
-Le monde de Narnia, l'odyssée du passeur d'aurore
-Le monde de Narnia, le fauteuil d'argent
-Le monde de Narnia, la dernière bataille
-Le château de ma mère
-Les royaumes du Nord
-La tour des Anges
-Le miroir d'ambre
-Artemis Fowl
-Artemis Fowl, mission polaire
-Artemis Fowl, code éternité
-Eragon
-Brisingr
-Arthur et la vengeance de Maltazard
-Artemis Fowl, opération Opale
-Le dernier Elfe
-Chroniques des temps obscurs, frère de Loup
-Artemis Fowl, colonie perdue
-Cœur d'encre
-Le dernier Orque
-L'empereur Pourpre
-Les chevaliers d'Émeraude, le feu dans le ciel
-Les Hauts de Hurle-Vent
-Les chevaliers d'Émeraude, les dragons de l'Empereur Noir
-Le livre des Étoiles, Quadehar le sorcier
-Le livre des Étoiles, le seigneur Sha
-Le livre des Étoiles, le visage de l'Ombre
-Magyk
-Magyk, le grand Vol
-L'odyssée
-Harry Potter, les contes de Beedle le Barde
-Chroniques des temps obscurs, fils de l'eau
-Le petit prince
-Jane Eyre
-Le magicien d'Oz
-Sans Atout et le cheval fantôme
-Le roi Arthur
-Chaire de Poule, enlevés par des extraterrestres
-Yvain ou le chevalier au lion
-Journal d'une princesse, la grande nouvelle
-La sixième
-Twilight, fascination
-Twilight, tentation
-Twilight, hésitation
-Twilight, révélation
-Le seigneur du Royaume
-Le destin des Fées
-Chroniques des temps obscurs, les mangeurs d'âmes
-Artemis Fowl, le dossier
-Stoneheart
-Sans Famille
-Main de Fer
-La conspiration Merlin
-Graceling
-Au bonheur des dames
-Le secret de Moonacre
-Chroniques du bout du monde, par-delà les grands Bois
-Tobie Lolness
-Les sirènes
-Vingt mille lieues sous les mers
-Mes secrets
-Artemis Fowl et le paradoxe temporel
-Sang d'encre
lundi 10 août 2009
Torak et Renn ( suite ) = D 2/3
Torak retourna dans sa cabane improvisée. Il vérifia leur vivres. Ça va, ils leur restait encore 4 bouts de viande séchée. Il rangea leur peau de bête et refit leur sacs. Il valait mieux se recoucher et attendre le matin. A l'aube, il fera jour et il pourra voir les traces du ravisseur de Renn. Tout était de sa faute. Il frappa violemment du pied par terre. Furieux. S'il avait écouté Loup, s'il l'avait cru. Il lui avait pourtant dit qu'il régnait ici une odeur étrange. Grognant de rage, il se coucha et entreprit de se rendormir. Il vit Renn en cauchemar, ainsi qu'un monstre sans visage, qui l'a décapitait. Il se réveilla en sursaut, dégoulinant de sueur. Il ne faisait pas encore jour.
« Pas grave, songea-t-il, l'aube va pointer dans une ou deux heures » Il alla réveiller Loup. Celui-ci l'avait prévenu !! Il lui avait bien dit, une odeur étrange étrangement, l'odeur d'un monstre, d'un fantôme !!! Comment ? Comment les avait-il trouvé ? Ils étaient dans le noir complet. Comment, mais surtout, pourquoi...
« Pas grave, songea-t-il, l'aube va pointer dans une ou deux heures » Il alla réveiller Loup. Celui-ci l'avait prévenu !! Il lui avait bien dit, une odeur étrange étrangement, l'odeur d'un monstre, d'un fantôme !!! Comment ? Comment les avait-il trouvé ? Ils étaient dans le noir complet. Comment, mais surtout, pourquoi...
Harry / Ginny informations
En lisant le sixième tome des aventures de Harry Potter, j'ai su comment lui et Ginny Weasley sont tomber amoureux l'un de l'autre. Ginny était tellement contente que Harry ai gagné la coupe de Quiddich cette année, qu'elle s'est jeté sur lui, et l'a embrassé. Tout simplement. Dans le tome sept, au dernier chapitre 19 ans plus tard ils sont apparement mariés, et ont eu trois enfants.
mercredi 5 août 2009
Infos Holly / Henry
jeudi 23 juillet 2009
De retour !!! = D Torak et Renn 1/3
Maintenant, ça va être sur Torak et Renn !
Torak et Renn chassaient dans la Forêt pour le clan du Corbeau. Évidemment, Loup les accompagnait. Ils étaient sur la trace d'un petit chevreuil, de 7 mois, qu'ils avaient suivi depuis le début de la journée.
_ Ça fait une nuit que nous sommes partis. Fin Keddin va s'inquiéter...déclara Torak.
_ Je sais, il suffit que nous abattions ce chevreuil, lui traçons les signes mortuaires et nous partirons ! affirma Renn.
_ Mouais...fit-il. Soudain, Loup débarqua devant eux, lâcha un « wouf ! » et repartit.
_ Qu'a-t-il dit ? demanda-t-elle.
_ Que le chevreuil s'est arrêté pour boire, il en a eu marre ! Ils s'excitèrent, enfin la fin de la chasse ! Se cachant dans un buisson de mûres fraîches, ils observèrent la proie se désaltérer dans un ruisseau. Torak jeta un coup d'œil à son amie. Elle avait encoché une flèche et visait la poitrine de l'animal. Il se pencha, s'était elle la pro du tir à l'arc, mieux valait lui laisser la vedette ! Il entendit le bruit familier de la corde qui se détend, et vit, en un éclair, la flèche fuser vers la bête. Le chevreuil poussa un cri de douleur au moment où la pointe pénétrait son cœur.
_ Enfin ! s'exclama Renn. Torak s'accroupit au chevet de l'animal, lui ôta sa flèche et le regarda mourir. Il prit de l'ocre, le mélangea à sa salive et en appliqua un cercle sur le front. Il prit une autre pincée de cette pâte et en dessina des ovales sur la poitrine de la bête.
_ Bravo ! Pas une seule fois tu n'as flanché. L'Esprit Du Monde veillera sur toi. murmura-t-il au chevreuil. Puis il laissa Renn découper la carcasse et en attacher à leur ceinture, garder les os pour Loup, et les nerfs pour ces cordes de rechange. Elle coupa un bout pour son Gardien du clan et le jeta au loin. Puis elle lui tendit de la viande séchée, en mangea elle-même, et donna des sabots pleins de viande à Loup, pour qu'il en mange, et après, joue avec. Enfin, repus, ils se fabriquèrent une cabane grâce au boit mort qui traînait et finirent par s'endormir.
* * * * * * * * * * * *
En pleine nuit, Loup se réveilla, grognant et grondant comme jamais. Il mordilla l'oreille de Grand-Sans-Queue et de sa sœur de meute. Ceux-ci se levèrent, gémissant de sommeil.
« kesta ? » gronda Grand-Sans-Queue. C'était quoi ce grognement bizarre ?!
« waf ? » demanda Loup poliment. ( waf : quoi ? )
« problème ? » demanda Grand-Sans-Queue en langage loup.
« odeur bizarre, remue ta truffe, sens odeur bizarre »
« sens rien »
_ Torak, tu pourrais traduire ?! s'exclama Renn.
_ Il sent une odeur étrange. répondit-il. Dans l'obscurité, il ne la discernait pas bien. Pas bien du tout. Le poil de Loup se hérissa au moment où Renn poussait un hurlement et était avalée par les ténèbres.
_ RENN !!!! hurla Torak.
_ TORAK !! C'EST UN MONSTRE !! Elle hurla à nouveau. AU SECOURS !! TORAAAAAAAK!
_ RENN !!! Il courut à l'aveuglette dans l'obscurité, mais rien, plus un souffle, plus rien...plus de Renn.
Je vous met la suite plus tard...on garde le suspens !
jeudi 21 mai 2009
Le temps des dragons
Maintenant sur Edmund et Elsbet:
Edmund avait un secret: Elsbet lui plaisait. Le problème, c'est qu'il n'osait pas le lui dire. Lui et elle étaient sur un bateau, en direction du Nord afin de tuer le démon qui renfermerait l'âme du Dragon. Depuis longtemps, des jours peut-être, Elsbet restait enfermée dans sa loge, et soupirait à longueur de journée. Mélancolique, elle ne sortait que le soir pour admirer la lune. Edmund en avait marre, il prit son courage à deux mains, et se dirigea vers sa chambre_ ou loge. Il frappa à la porte.
_Qui est-ce? couina la voix d'Elsbet.
_C'est moi...répondit-il.
_Oh...entre...Il ouvrit la porte et entra. Elle était assise sur son lit et regardait par le hublot. Il vint s'assoir à ses cotés.
_Comment ça va?
_Mal...répondit-elle en le toisant.
_Qu'est-ce que tu as? Depuis très longtemps tu ne sors pas de cette chambre, et tu ne fais que soupirer...
_Mes...mes parents me manquent...personne ne m'a prit dans ses bras depuis une éternité...
_Tu veux qu'on en parle? proposa-t-il. Lui l'aurait volontiers prit dans ses bras.
Elle soupira de nouveau.
_Avant que mes parents ne meurs, personne ne m'aimait, maintenant qu'ils ne sont plus là, personne ne m'aime au monde entier...je suis toute seule...
_C'est faux, moi, je t'aime...dit-il, trop vite.
_C'est vrai? Tu m'aimes vraiment, comme une sœur?
_Euh...non, pas comme une sœur... Ses yeux redevinrent tristes.
_Évidemment, je ne suis rien pour toi qu'une simple fille...
Il l'a prit dans ses bras.
_Mais non! Je voulais dire par là...( il prit son courage à deux mains) que je t'aime plus...qu'une sœur...
_Comment ça, plus? Tu es amoureux...de...MOI? Impossible!
_Ben...si...avoua-t-il. Les yeux d'Elsbet passèrent de l'horreur à la tendresse.
_Vraiment? demanda-t-elle en s'accrochant à son cou.
_Oui...vraiment...fit-il en déposant un baiser sur le sien. Elle lui sourit avant de l'embrasser amoureusement.
Edmund avait un secret: Elsbet lui plaisait. Le problème, c'est qu'il n'osait pas le lui dire. Lui et elle étaient sur un bateau, en direction du Nord afin de tuer le démon qui renfermerait l'âme du Dragon. Depuis longtemps, des jours peut-être, Elsbet restait enfermée dans sa loge, et soupirait à longueur de journée. Mélancolique, elle ne sortait que le soir pour admirer la lune. Edmund en avait marre, il prit son courage à deux mains, et se dirigea vers sa chambre_ ou loge. Il frappa à la porte.
_Qui est-ce? couina la voix d'Elsbet.
_C'est moi...répondit-il.
_Oh...entre...Il ouvrit la porte et entra. Elle était assise sur son lit et regardait par le hublot. Il vint s'assoir à ses cotés.
_Comment ça va?
_Mal...répondit-elle en le toisant.
_Qu'est-ce que tu as? Depuis très longtemps tu ne sors pas de cette chambre, et tu ne fais que soupirer...
_Mes...mes parents me manquent...personne ne m'a prit dans ses bras depuis une éternité...
_Tu veux qu'on en parle? proposa-t-il. Lui l'aurait volontiers prit dans ses bras.
Elle soupira de nouveau.
_Avant que mes parents ne meurs, personne ne m'aimait, maintenant qu'ils ne sont plus là, personne ne m'aime au monde entier...je suis toute seule...
_C'est faux, moi, je t'aime...dit-il, trop vite.
_C'est vrai? Tu m'aimes vraiment, comme une sœur?
_Euh...non, pas comme une sœur... Ses yeux redevinrent tristes.
_Évidemment, je ne suis rien pour toi qu'une simple fille...
Il l'a prit dans ses bras.
_Mais non! Je voulais dire par là...( il prit son courage à deux mains) que je t'aime plus...qu'une sœur...
_Comment ça, plus? Tu es amoureux...de...MOI? Impossible!
_Ben...si...avoua-t-il. Les yeux d'Elsbet passèrent de l'horreur à la tendresse.
_Vraiment? demanda-t-elle en s'accrochant à son cou.
_Oui...vraiment...fit-il en déposant un baiser sur le sien. Elle lui sourit avant de l'embrasser amoureusement.
La guerre des fées
Maintenant, sur Henri et Holly Bleue:
Henri et Holly Bleu étaient dans le palais de la princesse à chercher le vieil humain devenu grand conseiller et gardien du roi Pyrgus, frère de Holly. Quand soudain, la lingère de celle-ci_ qui lui avait prodigué de nombreuse robes en soie blanche_ vient vers eux en courant, l'air affolé.
_Altesse ! ! criait-elle. C'est une urgence ! !
_Quoi? Que s'est-il passé? demanda alors la fée de noble naissance aux cotés de son ami humain. Elle semblait inquiète sous ses beaux traits. Ses cheveux bruns, ses yeux bleus, et son nez parfait.
_Le prince Pyrgus, votre grand frère Altesse, est porté disparu, ainsi que son conseiller ! La jeune fée de la Lumière laissa un juron s'échapper de sa bouche.
_Quand l'avons-nous vu pour la dernière fois? intervint alors Henri.
_Il y a une demi-heure Chevalier. répondit-elle. Oui, Henri était Chevalier au peuple des fées, le noble et grand Chevalier de la Dague Grise. Mais dans son monde à lui, il n'était que Henri Atherton, lycéen de 16 ans. Et pour l'instant, il se trouvait aux cotés de la plus belle fée du peuple de la Lumière, en tant que Chevalier, à apprendre la disparition de son meilleur ami. Et oui, Pyrgus Malvae était son meilleur ami, et le plus noble qu'il connaisse ! Évidemment puisqu'il était roi ! La servante reprit:
_Nous savons que lui et son conseiller ont voulu passer du temps ensembles, prétendant " travailler ", mais nous savons aussi que le grand Portail qui mène au monde Analogue à été utilisé il y a moins d'une demi-heure, ce qui laisse à supposer qu'ils...
_Ce sont rendu dans le monde des humains...coupa Henri en terminant la phrase.
_Dans...dans ton monde? demanda Holly en tournant ses grands yeux bleus cristal vers lui. Il était toujours mal à l'aise lorsqu'elle le regardait sans ciller. Il se tortilla, gêné.
_Ouais...
_Ben, c'est génial ! On va pouvoir le retrouver !
_C...comment ça?
_Tu connais ton monde mieux que quiconque ici, et donc, toi et moi, allons chercher mon abruti de frère dans ton monde ! C'est assez simple !
_Mais Altesse...intervint la domestique.
_Il n'y a pas de mais, Serviola ! C'est une décision, un point; c'est tout ! La lingère leva les yeux au ciel, et en un soupir tourna les talons afin de s'enfoncer dans le long couloir par lequel elle était venue. La princesse se tourna vers Henri, les yeux suppliants:
_S'il te plait, Henri, il faut qu'on y aille pour le retrouver, mon frère foire tout quand c'est pas moi qui répare!
_Très bien, nous irons. Envisages-tu de rester longtemps?
_Tout le temps qu'il faudra pour le retrouver. Il faut juste que je trouve un endroit pour logis, si nous restons plusieurs nuits. Toi tu as ta maison.
_Mais tu es folle! Tu viendras chez moi évidemment!!
_Oh...euh...merci...C'était la première fois qu'elle paraissait gênée devant lui, surtout quand c'était ce qu'il avait dit qu'il la mettait dans cet état. Elle se dirigea vers le couloir de droite, et s'engouffra à l'intérieur, tirant le garçon par la manche, tout au bout, il y avait une allée pleine d'arbre et de fleurs, au fond, on apercevait un grand portail comme celui de Stargate. Sans avoir prêté attention au prêtre devant elle, elle plongea tête la première à l'intérieur, toujours en tirant Henri derrière elle. Ils atterrirent dans la rue principale à quelques rues de la maison de Henri.
_C'est quand qu'on commence les recherches? Tout de suite? Ou je demande d'abord à ma mère si je peux m'absenter de la maison quelques jours? demanda celui-ci.
_Mieux vaut le faire avant, et puis je vais voir ta niché! C'est excitant! Sur ce, Henri conduisit Holly chez lui, lorsqu'il poussa la porte, sa sœur était en train de passer dans le couloir quand elle aperçut son frère, il leva les yeux au ciel et murmura à l'intention de son amie:
_Ne lui prête pas attention, elle est stupide et c'est une peste, elle va surement dire n' importe quoi devant toi... Comme pour affirmer ses dires, la petite s'exclama:
_Tient, Henri, tu as ramené ta petite copine?! Au moins, elle est plus belle que toi, tes enfants ne seront pas des ordures! Puis elle continua sa traversée alors que Holly devenait rouge de colère.
_Tu appelles ça une peste?! J'appellerais plutôt ça une fouine, un rat, un animal, un chien, une sale petite...Grrhrrhrrhrr ! ! ! ! ! Et tu dois la supporter toute ta vie!!! Pas de chance!!
_Ne t'inquiète pas gamine, moi aussi je dois le supporter toute ma vie, mais un de ces jours, je vais le jeter à la porte, il m'énerve trop...fit la voix de la petite. Comment osait-elle appeler une personne qui avait à peu près le double de son age : gamine?
_Sale fille!! s'emporta-t-elle.
_Tu peux m'insulter comme tu veux, pour toi je suis sourde! Henri se précipita sur la petite et la plaqua à terre, en lui tirant les cheveux.
_Tu prononce encore un seul mot, je te fais rentrer de force la bouffe du chat du voisin dans la bouche, et si tu ne l'ouvre pas, ce serai par les autres extrémités dans lesquelles quelque chose peut entrer ou sortir!! Si tu vois ce que je veux dire!! La petite déglutit en poussant une grimace de dégout. Et de souffrance vu, que son frère la tenait toujours par les cheveux. Une voix fatiguée intervint alors:
_Henri, lâche ta sœur! Sa mère, des cernes sous les yeux se tenait à cotés d'eux. A contre-cœur il s'exécuta. Holly lui murmura alors:
_Le Chevalier de la Dague Grise perd le contrôle à la vue d'une petite sœur désagréable, et obéit à sa Maman. Il grogna. Sa mère dévisagea Holly avant de demander, évidemment :
_Qui est-ce, une nouvelle amie à toi? Henri, j'en ai un peu marre que tu amène des filles à dormir chez nous. fit-elle soupçonneuse. Holly se présenta alors :
_Je suis une...euh...camarade de la classe d'Henri, nouvelle dans le pays, et donc il a eu la gentillesse de me faire visiter son quartier, nous...nous sommes passés faire des devoirs en...en...
_En arithmétique...termina Henri en voyant qu'Holly ne savait quel mensonge inventer. Sa mère parut moins douteuse. C'est alors que sa sœur ficha tout :
_Non, c'est faux, c'est encore une de ces filles qui vienne essayer de le draguer!
_Je n'invite que Charlie à la maison! Tu raconte n importe quoi!! Holly parut désorientée.
_Je me fiche de tes relations, je veux trouver mon frère!! murmura-t-elle sur un ton scandalisé, mais peu convainquant. Après quelques heures, la nuit survint, et, évidement, Holly du la passer chez Henri, se qui ne l'enchanta guerre, et qui mit le garçon très mal à l'aise. Elle en supportait pas la peste qu'il avait comme sœur. Au moment de se coucher, Henri alla réclamer, avec son amie, un matelas à sa mère. Celle-ci répliqua qu'elle n'en avait pas.
_Et...comment vais-je dormir? demanda Holly.
_Et bien, avec Henri, tu n'as jamais dormit avec un garçon? La fille pâlit, et se retourna afin d'aller dans la chambre du garçon. Elle prit quelques couvertures, et se fit un lit grossier sur le sol.
_Qu...qu'est-ce que tu fais? demanda l'humain.
_A ton avis, il n'est pas question que je dorme avec toi...sans vouloir t'offenser...
_Ouais, ben, bonne nuit...il ferma la porte, éteignit la lumière, et se coucha, à la suite de Holly.
Pendant la nuit, celle-ci se réveilla en sursauts, Henri ne dormait pas et était en train de la contempler, lorsqu'elle se réveilla. Ses lèvres tremblaient.
_Un problème? chuchota-t-il.
_Je...j'ai fait un cauchemar...et j'ai froid...vous n'avez pas d'autre couverture?
_Euh...non...Elle le regarda, puis soudain s'exclama:
_Mais qu'est-ce que tu attends? Viens me réchauffer! Il se leva péniblement, puis rougissant, se glissa sous les couvertures de la jeune fille, la prenant dans ses bras et la serrant contre lui, la réchauffant de la tiédeur de son corps. Elle referma les yeux et resta la, dans ses bras. Tellement attiré par elle_ ben, oui, il est amoureux..._ il se pencha sans s'en rendre compte, et laissa timidement leur lèvres se toucher. Elle ouvrit lentement les yeux, qui avaient prit soudain, un air attendri, et l'embrassa de plus belle.
FIN
Eragon et Arya
Maintenant sur Eragon et Arya:
C'était le matin vers 11 heures.Eragon était sur Saphira il cherchait Arya, qui la veille était parti pour aller chez les Vardens.Il l'avait encore courtisé et elle ne lui avait plus adressé la parole, frustré il était parti a sa recherche. "Peut être que nous l'avons dépassée?" demanda t-il a Saphira "C'est possible mais...attends...une odeur d'Urgals!!" "Oh non et si...." _ARYA!!!!!!!!!!!!!!!!!!! Saphira fit demi tour et vola le plus haut possible en regardant la horde d'Urgals a cheval qui poursuivait un autre cheval sur lequel ce tenait...Arya!! Elle avait sorti son arc et l'avait bandé.Elle décocha trois flèches qui atteignirent toutes leur cibles: trois Urgals des plus proches.Elle décocha toutes ses flèches jusqu'à ce qu'il ne lui en reste plus.A ce moment elle sorti deux poignard et les lança sur les bêtes qui les blessa grièvement.Elle dédaigna son épée et se mit debout sur le cheval, toujours aussi gracieuse.L'Urgal le plus proche se fit décapiter, mais une flèche qui avait filée comme l'éclair s'était plantée dans son avant bras.elle perdait déjà beaucoup de sang.Une autre flèche l'atteignit a l'épaule ce qui ne l'empêcha pas de tuer un autre adversaire avant de s'effondrer sur le sol. "Les chevaux vont la piétiner!!!!.Redescend Saphira le plus prés du sol!" C'est ce qu'elle fit, un cou de queue par ci et par la et tous les Urgals les plus proches se firent massacrés.Eragon descendit sur sa patte et tendit son bras le plus loin possible, il fini par attrapé celui d'Arya en prenant soin de ne pas touché sa blessure, il l'a porta inconsciente et regrimpa sur la selle de Saphira. _Waise Heill ! ! ! ! ! ! ! ! ! Et les blessure de l'elfe disparurent.Il la serra fort contre lui sans s'en rendre compte.Soigneusement il la plaça sur ses genoux( enfin une main sous sa tête et une sous son dos, vous savez comme quand on porte un bébé ) et la serra contre lui. "ou va on Eragon?"demanda sa dragonne "Chez les Vardens bien sur!"Elle fila comme l'éclair et ils passèrent tout l'après-midi sur son dos.Finalement vers le crépuscule, Arya gémit légèrement et bougea "Elle se réveille!!" "Oui, mais fait attention a elle" "Bien sur..." Elle ouvrit les yeux et se redressa des bras d'Eragon qui la contemplais gêné. _Ou sommes nous? demanda t-elle _Nous arriverons bientôt chez les Vardens, pour l'instant nous sommes sur Saphira.répondit-il Elle le regarda et lui sourit: _Je vois qu'a chaque fois que j'ai besoin d'aide tu viens a la rescousse! Tu me suivait? _Non...je voulais m'excuser de mon comportement de la dernière fois et Saphira a senti une odeur d'Urgal et puis je t'ai vu tomber de ton cheval alors j'allais te regarder te faire piétiner? _Merci...elle déposa un baiser sur sa joue, le regardant avec amusement alors qu'il rougissait.Puis comme si de rien était elle posa sa tête sur son épaule et ferma les yeux.Il l'a serra contre lui encore plus fort en se réjouissant de ce jour ou jamais il ne sera aussi proche d'elle.Finalement elle rouvrit ses yeux verts et les tourna vers lui et déposa ses lèvres sur les siennes en l'enlaçant tendrement.Une chaleur l'envahit, les abeilles dessinaient des cœurs de miel, les fleures tombaient du ciel.Et Arya l'embrassait.C'était le plus important.Finalement il avait réussi a se mettre dans la tête que la femme de sa vie ne voulait pas de lui.Il avait cru qu'elle était probablement amoureuse de quelqu'un d'autre.Mais oui! C'est vrai elle était amoureuse mais de LUI ! Le baiser s'interrompit et Arya envoya son esprit a l'assaut du sien. "Je t'aime, Eragon"dit elle "Moi aussi, Arya pourquoi me repoussais-tu alors que je te courtisée?"rétorqua t-il "Parce que dans ton esprit tu n'avais pas encore assez grandi, tu étais toujours un adolescent, maintenant tu es un adulte..."
Arthur et les minimoys
Maintenant, je vais vous présenter une belle fic sur Arthur et les Minimoys:
Le chef des Bogo-Matassalaï se dirigea vers la maison de ses grands amis: Archibald et Arthur. Pas plus tard qu'hier, Arthur s'était fait piqué par une abeille, et comme vous le savez tous, Arthur est un garçon adorant la nature et ses occupants, mais il est allergique aux abeilles_ ce qui ne l'empêche pas de les aimer et de les respecter_ la moindre piqure lui est fatale. En bref, il était mourant. Gravement malade. Le guerrier Matassalaï entra dans le petit salon, ce qui l'obligea à se pencher, vu que de ses 2 mètres 10, le plafond était...comment dire?...bas. Il monta lugubrement les escalier menant à la petite chambre d'Arthur. Il était là, allongé dans son lit, les lèvres bleus, le visage pâle, les couvertures montées jusqu'au menton. Plusieurs chaises vides étaient installées à coté. Archibald, Marguerite, Rose et Armand devaient restaient des heures ici, à voir si le jeune garçon de 10 ans était mieux qu'il y a 5 minutes ou pas...Le guerrier s'installa sur une chaise et regarda le petit Arthur ouvrir les yeux. Malgré le fait qu'il était malade, il sourit à son visiteur.
_Vous...n'auriez...pas dû...ve...nir...murmura-t-il. Ses forces étaient vite partit.
_Pourquoi ça Arthur, tu fais partit de notre tribu, tu es un des notre, et comme se doit la tradition, le chef de clan des Matassalaï se doit de tenir compagnie au mourant..
_Je ne vais pas mourir, j'en suis sur!
_Dis-moi, pourquoi cette abeille t'a-t-elle piquée? Les abeilles sont nos sœurs, comme le renard est notre frère et le poisson notre cousin!
_C'est ma faute. Elle était emprisonnée dans ce piège à confiture que Papa fait. Ses pattes ne pouvez plus bouger...je les ai dégagée une à une, mais Maman est entrée par surprise, et elle m'a fait sursauté, j'ai fait un mouvement brusque, et...l'a...l'abeille...m'a piqué...croyant qu'elle...qu'elle était attaquée...
_Oh, ce n'est pas ta faute, pas vraiment...
_Si, c'est moi qui l'ai mise en danger...Elle est morte, maintenant...les larmes lui montèrent aux yeux.
Le chef fut assez étonné de cette peine envers la mort d'une abeille que envers la sienne. Puis il reprit ses esprits.
_La tradition veut que je t'accorde une faveur, même si elle est impossible, je dois tout faire pour la réaliser. expliqua-t-il. Arthur acquiesça, il connaissait sur le bout des doigts la tradition.
_Que veux-tu? demanda enfin le Bogo-Matassalaï. Arthur toussa d'une toux violente.
_Je suis épuisé, plus tard...peut-être. fit-il en ne pouvant plus se retenir de fermer les yeux.
_Non Arthur, si tu meurs dans ton sommeil, ce sera fichu.
_Alors...je vais...vraiment....mourir? Le chef hocha gravement la tête.
_Je veux...je veux revoir Sélénia, une dernière fois...Sélénia, et Bétamèche...et même le roi...
_Très bien...
_Pouvez-vous préparer la longue-vue? Pour moi?
_La longue-vue, je vais la préparer, mais pas pour toi...Tu n'es pas en état de sortir de ton lit...C'est Sélénia qui va l'utiliser pour venir te voir...
_Non, Sélénia a peur de mon monde...
_Mais Sélénia est ta femme, et si elle t'a choisi pour mari, c'est qu'elle t'aime. Donc si Sélénia veut te voir, c'est à elle de passer dans ton monde, et pas à toi.
_Arthur!!! fit une voix en bas, te sens-tu mieux, mon chéri?
_Dites-lui que non, s'il vous plait. murmura Arthur en fermant les yeux.
_Bien sur...Le chef se leva, et sortit sans un mot. Tout d'un coup, Rose arriva en pleurant.
_Oh mon petit chéri, fit-elle en se jetant _ doucement_ sur son fils. Mon petit chéri qui va mourir!! Non!! Elle sanglota de plus belle jusque ce qu'elle se rende compte qu'il dormait profondément. Alors elle décida de revenir pleurer plus tard _ si il ne meure pas_ Le chef attendit qu'il soit midi, puis, la longue-vue étant installée, demanda à parler à Sélénia. L'escabeau habituel tremblota le temps que la princesse minimoy se présente, elle plissa les yeux puis demanda:
_Pif-Gran? Le chef Matassalaï?
_Oui, je viens pour Arthur, il est gravement malade, mourant, sa dernière volonté est de te voir, toi, ton frère et ton père.
_Quoi? fit-elle d'une voix suraigu. Mon...mon Arthur malade? Mourant? Puis elle fit la seule chose à faire dans ces cas là, elle tomba dans les pommes.
_Sélénia? dit le chef. ça va? Bétamèche apparut alors.
_Qu'est-ce qui se passe? Pour qu'elle tombe dans les pommes?
_Arthur est sur son lit de mort, il a une dernière volonté qui est de vous voir. Venez, il vous reste 3 minutes, la porte va bientôt se fermer.
_Tout de suite! Passeur, lance la procédure. Sélénia s'était relevée entre temps, elle passa en premier dans la gélatine gluante, et se retrouva expulser au dehors. Son corps humain n'était pas très différent de son corps minimoy, sauf que ses oreilles n'étaient plus pointues, et qu'elle avait cinq doigts à chaque mains et non quatre. Elle se précipita dans la maison d'Arthur_ qui d'autre?_ sans attendre son frère et son père. Elle sanglotait déjà lorsqu'elle déboula dans le hall. Marguerite fronça les sourcils en la voyant et dit:
_Bonjour, mais qui êtes vous?
_Je suis Sélénia, où est Arthur? Ou est sa chambre? Est-il mort? la grand-mère se souvint alors de son petit fils qui lui disait être fier d'être le mari de la plus belle des minimoys, Sélénia.
_Oh oui, bien sur, Sélénia. Venez le voir. Elle l'accompagna jusque la chambre d'Arthur.
_Il est la, ne l'approchez pas trop. Il est peut-être contagieux. chuchota-t-elle. Sélénia ne l'écouta pas, mais plutot son cœur en se précipitant sur son mari adoré et en se jetant dans ses bras. Elle passa une main sur sa joue et attendit qu'il ouvre les yeux.
_Arthur, Arthur ça va? demanda-t-elle en un murmure.
_Tu...tu es venue? Je pensais que tu avais peur de mon monde.
_je t'aime tant que je n'ai pas le temps de penser à mes peurs...chuchota-t-elle.
_Il...il ne faut pas que...tu m'approches...si c'est contagieux...je ne serai pas en paix au cas ou...ou tu...meurs...Il sourit quand même, content de revoir sa princesse.
_Tu...tu es sur que...tu vas...mourir? demanda-t-elle.
_Je crois...Elle éclata en sanglots en se réfugiant dans ses bras.
_Écoute Sélénia, tu ne me vois que toutes les dix lunes, ça ne changera pas grand chose...si je meure...
_Fou! Idiot! Quand je t'ai vu ma vie a changé! Si tu n'es plus là, comment vais-je pouvoir me consoler?! Elle se glissa à ses cotés, préférant opter pour le coté inconfortable du lit, laissant le reste à son chéri.
_Non, ne dis pas ça...Puis, Arthur la regarda un peu mieux.
_Tu n'as pas changé, remarqua-t-il.
_Comment ça?
_Toujours la plus...belle...
_Ce n'est pas le moment des compliments! Arthur, je ne veux pas que tu meurs!
_Moi non plus, je veux toujours te voir, si je meure, je ne pourrais plus...Mais je l'ai mérité, puisqu'à cause de moi, une abeille est morte...
_Quoi? fit-elle incrédule.
_Les piqures d'abeilles me sont fatales, si une me pique, je suis dans cet état là, une abeille a eu le malheur de me piquer, elle est donc morte...
_Arthur, mon bel Arthur, les abeilles, il y en a des centaines! Mais toi, Arthur Bigantol, il n'y en a qu'un seul, et si ce seul Arthur meurs, je pourrais être prise par la folie, le désespoir, la dépression! A ce moment Bétamèche fit son apparition, la face pleine de larmes. Il vit sa sœur aux cotés d'Arthur, son visage à elle aussi baigné de larmes, et sut que ce n'était pas une plaisanterie.
_Comment tu te sens, Arthur? demanda-t-il.
_Impeccable...murmura-t-il sauf que je suis désolé de vous voir tous pleurer pour moi...
_ARTHUR ! ENCORE UN MOT ET C'EST MOI QUI TE TUE ! ! ! s'écria Sélénia.
_Mais, Sélénia...je...je...Ses yeux s'agrandirent subitement, une goutte de sueur coula de son front. Sa peau pâlit plus que la normale. Il sourit en fermant les yeux.
_Je...je...je...t'aime...Sa tête tomba lourdement sur l'oreiller. Sélénia éclata en sanglots et cria son désespoir au point que les oiseaux tombaient de leur nids. Bétamèche ferma les yeux, hocha la tête et pleura toutes les larmes de son corps.
UN MOIS PLUS TARD
_Tu m'as fait une peur bleue ce jour là! fit Sélénia en souriant, s'adressant à Arthur.
_Oui, je ne savais pas du tout que ce n'était qu'une simple maladie pulmonaire, et non une allergie, heureusement que le docteur a sut identifier ça...répondit-il. Sélénia et Arthur se promenaient dans un champ de pissenlits.Finalement, l'allergie aux abeilles n'était qu'une hypothèse, il avait fait une maladie pulmonaire qui s'était avérée débutante, donc facile à gérer, donc, pas grave. Tout était rentré dans l'ordre après qu'Arthur ne soit revenu de l'hôpital. Sélénia s'était jetée autour de son cou et l'avait embrassé comme jamais auparavant...Tout était bien qui fini bien...
lundi 6 avril 2009
Artemis mit en marche le walkie-talkie que Holly lui avait donné, il voulait lui parler, étrangement, celui de son amie était déjà en mode de fonctionnement. Soudain, il vit et entendit ce que jamais il n'aurait voulu voir et entendre. Un elfe tenait fortement la main d'Holly et la tirait vers lui alors qu'elle se débattait. _Vous serez à moi, Holly ! A moi ! cria-t-il à celle-ci.
_Lachez moi ! fit-elle en tirant brutalement sa main, vous ne comprenez pas ! Je ne veux pas de vous !, C'est clair, net et précis ! Effectivement, l'elfe était très, très, très moche, et Holly...était sûrement le plus bel être qu'Artemis ai vu de sa vie entière ! Dés qu'il la regardait, son estommac se nouait.
_Je veux vous épouser ! reprit l'elfe, vous m'appartienerez bien un jour ! Vous verez !
_Vous vous faites les idées les plus stupides au monde ! hurla le capitaine Short.
_Qu'est-ce qu'il vous faut?! Je suis bien assez beau pour vous ! Ce qui était bien le contraire.
_Allez au diable ! ! ! ! Il la tira encore plus, la prit par la taille et la colla contre lui, elle se retrouvit, ses lèvres contre les siennes. Artemis crut qu'il allait vomir, puis se rentrer une lâme dans le ventre. Elle se recula dés que leur lèvres entrèrent en contact et cracha à terre. Elle lui donna un gros coup "aux parties" et s'enfui, le laissant plié en deux. Le jeune garçon qui avait vu toute la scéne, remarqua qu'elle portait au cou un petit collier blanc, rien de très extraordinaire...La communication se coupa, et Artemis resta un long moment figé, planté devant son petit walkie-talkie. Pourquoi se sentait-il étrange? Il rougissait, voulait allé voir Holly et la protèger de se brigand qui ne lui voulait que du mal, pourquoi? Pourquoi était-il ainsi? Il voulait allé la prendre dans ses bras, et la serrer fort, le plus fort possible pour qu'elle ne s'échape pas, ne disparaîsse pas et ne s'envole pas. Le talkie-walkie s'alluma soudainement et Foaly se matérialisa à l'écran. Derrière, on voyait Holly de dos.
_Artemis, murmura le centaure, attendez-vous à ce qu'Holly vienne dans quelques temps...Elle est...bouleversée, je crois qu'elle vous racontera tout ce qui s'est passé...
_Foaly, qu'est-ce que vous attendez? Donnez moi la fiole et puis c'est tout! gronda la voix de Holly. Si il revient, je l'étrangle !
_Mais Holly, il ne vous fait que des avances! hénnit l'animal.
_Des avances très, très insupportables! Enfin voyons, il a failli m'embrasser!!! Il me harcèle depuis des mois! C'en est trop! J'ai pris ma décision, et elle ne changera pas, ainsi que mon avis! Holly se retourna soudainement, et n'apperçu pas Artemis. Des larmes roulaient sur ses joues. Artemis eut envie de traverser l'appareil de la consoler, de lui murmurer des mots doux, qu'elle ne pleure plus. Elle était toujours aussi belle, normal, son grand oncle était Cupidon, ses cheveux coupés courts en piques et roux, ses grands yeux noisette. Il y avait juste sa taille de fée ou plutôt d'elfe qui posait problème, ses 99 centimètres, 1 mètre quoi, tout le monde à Haven-Ville, était comme ça, d'un mètre, mais rare une beauté pareille existait!
_Donnez moi la fiole Foaly. Et vite.
_Holly réflechissez encore un peu. Vous allez tout abandonner, Haven-Ville, les FAR, votre rôle de capitaine de police? Tout?
_Oui, tout! J'aurais une taille humaine, et j'irais vivre à la surface! Au moins là-bas les gens ne seront pas aussi...tordus! Et puis...il...il y a Artemis! Et Butler, Juliet, Angeline, et le père d'Artemis, n'est-il pas notre meilleur ami, mon, meilleur ami?
_Oui, bien sur, et je sais que vous tenez beaucoup à lui...Artemis retint son souffle, il avait 16ans, ne serait-ce pas le moment de tomber amoureux?
_Qui vous a dit ça? coupa-t-elle sèchement.
_Enfin Holly, ça se voit! Elle bougonna des paroles inaudibles, et se prit le visage dans les mains, elle pleurait toujours.
_Foaly, finissons-en, laissez moi me tirer d'ici! Je rends mes armes, mon inssigne, et ma combinaison! Un bruit de métal s'en suivit, elle avait jeté son inssigne par terre, elle lui donna sa combinaison toute pliée, et son Neutrino 2000 et 3000. Lorsqu'elle fut partie, Foaly murmura à Artemis:
_Artemis, vous êtes encore en ligne?
_Oui, j'ai tout suivi.
_Qu'est-ce qu'elle a à votre avis? Et il lui raconta tout ce qu'il avait vu. Même si Foaly en connaissait les trois quarts.
_Cela reste entre nous! fit-il.
_Evidemment...Je ne suis pas chez moi, je vais y retourner afin d'acceuillir Holly...Il n'était pas chez lui, en effet, il était allé avec sa mère et Butler à un vernissage de plusieurs tableaux sans importance. Il raccrocha à contre coeur, être encore en contact avec le Peuple était toujours un soulagement. Il savait que quelque part, il avait des amis, et même qu'Holly comptait plus qu'un ami à ses yeux. Il se dirigea vers sa mère.
_Maman, il faut que nous rentrions chez nous, j'ai un invité... _
Oui, très bien Arty chéri, de toute manière, je commence à m'ennuyer...Butler les suivit alors qu'ils grimpaient dans le 4x4. Au bout d'une demi-heure de route, Artemis s'écria en apercevant un corps à terre, inconscient, inondé de sang:
_Butler, c'est Holly, C'EST HOLLY ! ! ! ! ! ! Il fréna brutalement, et Artemis sauta et se mit à courire comme un fou en direction de Holly, baignée de sang, les yeux fermé, évanouie. Son collier fumait. "Sûrement une micro-biobombe, songea-t-il, incrustée dans le collier, j'étudierais son fonctionement, lorsqu'Holly sera saine..." il la porta sans difficultées, elle était si légère! Elle gémit légèrement, mais garda les yeux fermés. C'était son cou qui saignait, il était à moitié déchiqueté! Butler se chargea de la petite fiole qu'elle avait laissé tomber à terre dans sa chute. Ils entrèrent de nouveau dans le 4x4, Holly, la tête sur les genoux d'Artemis, à l'arrière.
_Butler, vous n'auriez pas une trousse de secours? demanda-t-il à son garde du corps. Sa voix tremblait.
_Artemis, qui est cette jeune fille? demanda sa mère.
_Je t'expliquerais tout à la maison. Butler sortit une petite trousse blanche et la lui tendit. Il y avait du coton, du désinfectant, et un long bandage blanc. Artemis commença par désfincter la plaie avec le coton et le produit, puis, tout sang nettoyé, il enroula le cou de sa protégée avec le bandage. Elle était sûrement sur le chemin pour se rendre au manoir des Fowl, lorsque son collier avait explosé. Ils arrivèrent rapidement chez lui, et Artemis déposa Holly dans son lit, la recouvrit de plusieurs draps, et attendit qu'elle se réveille. Vers la fin de l'après-midi, ce fut le cas. Angeline Fowl était à ses cotés, juste elle. La fée gémit, remua, et enfin, ouvrit lentement ses yeux.
_Il était temps que vous vous réveillez! gronda gentiment la mère du garçon.
_Euh...Oh, ma tête!! Elle referma les yeux au moment ou Artemis éclatait la porte et se précipitait à son chevêt.
_Holly, Holly ça va? Vous me reconnaissez?
_Evidemment que je vous reconnais! Un Etre de Boue hors du commun! et un génie en plus! Ce serai difficile! Il prit la petite main de son amie et la serra fort dans la sienne. Elle lui murmura:
_Comment ça se fait que votre mère me voit?
_Je...je lui ai tout raconté, je n'avais pas le choix... _
Très bien, mais ce n'est pas grave...Elle se redressa sur le lit.
_Co...comment vous m'avez trouvé? demanda-t-elle.
_Je...je retournais chez moi, et...vous étiez là, par terre, dans la rue, pleine de sang. J'ai examiné le collier que vous aviez , c'était une bombe, activée à distance avec infrarouge, pas très sophistiquée, celui qui vous en voulait la activée avec une télécommande lorsque vous aviez le dos tourné, ça devait être il y à peu près 45 minutes de l'explosion.
_Diraf...murmura Holly entre ses dents.
_Pardon? Oh, c'est votre valentin...Elle sursauta.
_Ne l'appelez pas comme ça!!!! Je le hais!!
_Pardon...désolé...
_Si vous saviez ce qu'il me fait...si il n'a pas ce qu'il désire, alors il me tue!
_Non, jamais...murmura Artemis en tirant Holly vers lui et la prennant dans ses bras. Sa mère sortit discretement de la chambre. La fée sourit.
_Vous avez changé Artemis, chuchota-t-elle, avant, vous étiez cruel, dangereux...et intelligent...
_Je le suis toujours!
_Mais pour faire des choses bonnes, et pas des histoires de kidnappage!
_Je ne regrette pas ce que j'ai fait, en vous prennant en otage, je vous ai connu! _Je vous préfère ainsi...elle se pencha sur lui, Artemis le cœur battant, et toucha de son front le sien...avant de se relever, et de tater son cou...
_Qui ma soigné? demanda-t-elle.
_Moi...Elle sourit de plus belle
_Ce n'est pas dans vos habitudes de faire les choses vous-mêmes!
_Lorsqu'il sagit d'une amie, si. Elle ne put s'empêcher de l'embrasser sur la joue, ce qui le rendit tout rouge. Ils se tutoyèrent alors:
_Tu as rougi! s'exclama-t-elle.
_Ah...ah bon? il perdait tous ses moyens!! Que c'était drole! il s'assit sur le lit, à ses cotés.
_C'est quoi la fiole? demanda-t-il.
_Quand je la boirerais, ça me permettra d'avoir une taille normale...comme toi!
_Et tu as à peu prés mon age?
_Oh, je ne sais pas...tu sais bien que j'ai 80 ans! et toi 16!
_Mais tu es une fée, c'est normal!
_Je sais...soupira-t-elle. Elle reprit la fiole et la but cul sec. Soudain, elle commença à grandir, et finalement, elle avait presque la taille d'Artemis.
_Waouhhhhhhhhh....souffla celui-ci. Car ce n'est pas seulement sa taille qui avait changée, elle avait encore plus embellit !! Encore plus! Elle décida de se lever, il s'écarta, lorsqu'elle posa ses pieds à terre, elle ne tenait plus sur place, et vacillait. Artemis passa ses bras autour d'elle afin de la tenir, mais elle tomba sur lui, leur lèvres scéllés. Ils restèrent ainsi le plus longtemps possible, mais l'éternité ne dure jamais assez! Holly avait passé ses bras derrière le cou de son ex-ami, et Artemis la tenait toujours par la taille. Sa policière du FBI des fées préférée était dans ses bras. Le capitaine des FAR était dans ses bras...waouhhhh...et que dire lorsqu'ils se seraient séparés? Il profita de l'instant, le parfum agréable de son amie, sa peau douce, son souffle...et ses lèvres. Mais enfin, ils se séparèrent, et ouvrirent les yeux. Elle le regarda sans prononcer un mot, alors il se décida.
_Holly, je...je t'...Il ne put le dire. Elle sourit, comme les garçons avaient du mal à s'exprimer!
_Quoi que tu veuilles dire, moi aussi...Et elle l'embrassa à nouveau, le laissant la presser contre lui. Jamais, jamais de sa vie, il n'a été aussi heureux!!
samedi 14 février 2009
On continue...
Maintenant sur Ron et Hermione!
2:
A Poudlard, le temps était plutôt lugubre, dans le parc, les nuages gris fesaient pleuvoir leur pluie, et le lac était sombre, noir. Les élèves de Griffondor étaient bien tristes car les matchs de Quidditch venaient d'être annulés. Tard le soir, Hermione revint de la bibliothèque avec plusieurs livres à la main. _Nez crochu. dit-elle à la Grosse Dame. _Toi même, oui! répondit-elle en baillant. Elle pivota et laissa la jeune sorcière entrer. _Tu devrais aller parler à cette vielle chouette de McGonagal. dit Ron à Harry, seuls dans leur fauteuils préféré de la salle commune, devant le feu. _Pourquoi faire? demanda Hermione. _Oh, tu es là...et bien je disais que Harry devrai allé parler à McGonagal pour qu'elle essaye d'arranger les choses.Pour le Quidditch. _Mais ce n'est pas McGonagal qui arrangera les choses, Ron! Combien de fois l'ais-je dit?! s'exclama Hermione _Aller, ça va recommencer! Tu es Miss-Je-Sais-Tout OK?! Mais pour le Quidditch, tu es carrément à coté de la plaque! Tu tourne autour du pot. Tu n'as qu'a réviser et te taire.cria Ron _J'en ai marre que vous vous disputiez tout le temps! lança Harry. _Oui, moi aussi! dit Hermione en pleurant, y en a marre, tu es toujours en train de me critiquer à chaque fois que j'ouvre la bouche! Tu es mon ami! Ron, mon ami, pas mon ennemi! Elle partie en courant dans le dortoir des filles. Une sortie théâtrale laissa Ron bouche bée. Harry le regarda droit dans les yeux sévèrement. _Quoi? _Cours après elle! _Dans le dortoir des filles?! Tu es fou. Et de toutes manières, si elle ne veut pas m'adresser la parole, tam pis pour elle! _Ron, j'ai découvert il y a longtemps le poteau rose! Arrête de me mentir, c'est très très énervant! _Quel poteau rose, de quoi tu parles? _Cela a un rapport avec Hermione... _C'est sur, nous parlons d'elle! _Allez, avoue, que tu es amoureux d'elle. _QUOI ??!! MOI AMOUREUX D'ELLE ??!! TU ES FOU ! ! ! ! ! ! Hermione, dans le dortoir pour filles, entendit nettement la voix de Ron qui hurlait qu'il n'était pas amoureux d'elle. Elle était à genoux devant son lit, la tête dessus pleurant de tout son cœur. Elle aimait Ron, c'était son ami, mais pourquoi lui faisait-il tellement de peine? Si il la considérait comme une amie! Pourquoi? _Ne mens pas Ron! cria Harry à son ami, tu l'aimes, c'est clair, net et précis, tu l'aimes! _Harry, ce sont les filles qui parlent de se sujet! Tu es une fille? _Ne détourne pas le sujet sur une chose que tu viens d'inventer! Vas-y, tu peux avouer, ça ne fait rien, je ne suis pas Hermione, je ne risque pas de.... _De quoi? demanda Ron le regard sombre. _De me jeter sur toi et de t'embrasser. Ron tira la langue, dégouté. _Allez, dis le! insista Harry. _Mais que je dise quoi? Que je suis amoureux d'une fille dont je ne suis pas amoureux? _Non, je veux que tu dise que tu es amoureux d'une fille DONT TU ES amoureux! _Très bien, si cela peut te calmer, mais je ne le pense pas! Harry attendit, Ron rougit violemment sous ses cheveux roux et marmonna: _J'aime Hermione...Tu es content? _Parfaitement! fit Harry avec un sourire et regardant la brunette qui venait de sortir des dortoirs des filles, des larmes coulant encore sur ses joues, la bouche grande ouverte, ébahie par ce qu'elle venait d'entendre. Et au fin fond d'elle heureuse et contente. Ron la regarda avec horreur. _Tu m'as manipulé! s'écria-t-il à Harry, Tu m'as fait hurlé pour qu'elle sorte. _Et que tu t'excuse! Je ne sais pas si tu es amoureux d'elle mais au moins je sais que tu l'aimes en tant qu'ami, alors tu vas t'excuser! La Grosse Dame pivota et Olivier Dubois entra: _Harry, tu as oublié! Vite, tu vas raté l'entrainement de Quidditch! _Oh, oui, j'ai oublié! Faut que j'y aille! Sur ce, il se leva et ce précipita vers le gardien des Gryffondor. Laissant Ron et Hermione seuls. Celle-ci tourna les talons et lorsqu'elle s'apprêtait à entrer dans les dortoirs des filles, Ron lui cria: _Hermione, attends!! Elle s'arrêta, et se retourna. _Si c'est pour que tu me crie encore dessus et qu'après tu commence à hurler que tu m'aimes, non, je n'attends pas...Elle entra définitivement dans le dortoir et ferma la porte derrière elle. _Bravo, gros crétin! marmonna Ron en se tapant dessus. Il alla lui aussi dans ses dortoirs et s'endormit jusque la nuit. Vers 3h 30 du matin, il se réveilla. Il avait dormit très tôt, et maintenant, il n'avait plus aucune envie de dormir, le sommeil était passé, le marchand de sable aussi (lol). Il se leva et alla dans la salle commune. Il s'assit sur le fauteuil le plus proche, dans le noir, et commença à penser à ce qui c'était passé le soir dernier. Mais soudain, il sentit une chose sur lui. _Aie ! ! cria-t-il. _Oh désolé...Ron? _Hermione? C'est toi? _Qu'est-ce que tu fais là? demanda celle-ci en rabattant précipitamment sa robe de chambre contre elle, afin qu'il ne la voit pas en pyjama. _Je...je n'arrive pas à dormir...balbutia-t-il, en se demandant lui aussi pourquoi il n'était pas resté dans son dortoir. Et toi? _Il y a des...moustiques, qui m'ont piqué, et ....je cherche....la pommade...qui enfin, qui...m'enlève l'envie de...gratter... _Oh...je t'accompagne à l'infirmerie? Madame Pomfresh a surement cela... _Non, ça va, je crois, que je vais retourner me coucher...Mais Ron l'en empêcha en le retenant par la main. Lorsque celles-ci se touchèrent, il eut dans l'estomac une boule qui se contracta. Il grimaça de douleur. Hermione le regarda avec mépris et lança: _Maintenant, même le fait de me toucher te dégoutte, je ne sais pas si nous resterions longtemps amis, Ron, sincèrement, j'en ai plus qu'assez... _Non, Hermione, attends. Je vais t'expliquer: Harry m'a forcé à dire que je t'aime juste pour que tu revienne et que je m'excuse. _Et alors? Tu ne t'es pas excusé! _Mais c'est un malentendu! Je suis désolé, ça ne se reproduira plus...Promis! fit-il avec un sourire timide. Hermione soupira un bon coup, avant de dire: _Très bien... Elle le prit dans ses bras. Il rougit violemment, elle se sépara de lui et retourna dans les dortoirs pour filles. Ron resta là, planté, les oreilles en feu. Finalement, il alla se recoucher. En tirant le rideau de son lit, Harry grogna: _T'étais ou? _Au toilette! fit-il avec humour. _Sérieusement... _Dans la salle commune. Dors! Il se coucha définitivement avec Harry. Le lendemain, Ron se réveilla de bonne humeur, au moins c'était un problème en moins du fait de s'être réconcilié avec Hermione. Et puis il avait eu droit à un câlin! Mais pourquoi est-ce qu'il en était heureux? Il devenait fou? Non! C'était juste un petit truc que les filles ont, le fait d'envouter quelqu'un! Il se prépara, et descendit à la Grande Salle. Hermione y était déjà comme d'habitude et se beurrait un toast. _Bonjour! lança-t-il en s'asseyant à ses cotés. Il prit une tartine à la confiture de citrouille et demanda à Harry qui venait d'arriver et s'asseyait à cotés d'eux: _Qu'est-ce qu'on a aujourd'hui? _Métamorphose et Botanique, et l'après midi, Potion et Défence contre les Forces du Mal...La cloche sonna et Harry ronchonna: je n'ai pas eu le temps de manger! _Tu es rentré tard hier après l'entrainement, c'est normal si tu t'es lever tard. déclara Hermione. _Ouais...Ils se dépêchèrent d'aller au cours de Métamorphose. McGonagal ne supportait pas les retards. Ils s'assirent tout au fond de la classe et entendirent la professeur déclarer joyeusement: _Nous laisserons les cours de Métamorphose de coté à partir de ce jour! Nous allons commencer le théâtre! Harry faillie s'étouffer. _Le théâtre? demanda-t-il à haute voix. _Oui, Mr.Potter, et même que nous ferons une romance! Qui veut se porter volontaire pour être le valentin? demanda-t-elle aux garçons. Elle regarda Ron et fit: _Et bien Mr.Weasley, vous qui êtes si souvent discret en classe, tentez votre chance. Elle l'agrippa par le bras et le sortit de table pour le mettre à ses cotés. Hermione ricana: _Pauvre Ron, je ne veut pas être à sa pla...Elle se coupa en voyant que McGonagal la regardait. _Miss Granger, veuillez me faire le plaisir d'être la valentine de notre pièce de théâtre. _M...moi? balbutia-t-elle. _Oui, vous êtes la meilleure amie de Ronald n'est-ce pas? Alors vous ferez l'affaire. _Mais, justement, nous sommes amis, juste amis, vous ne pouvez nous obliger à...à jouer dans une romance... _C'est moi qui dis si vous êtes obligée ou pas, et vous l'êtes, Miss Granger, ne me décevez pas, vous qui êtes si brillante. Hermione se leva, choquée et alla se placer aux cotés de la prof, ignorant les moqueries de ses camarades. _Il y a 30 personnages, le nombres exacte de cette classe. Miss Granger et Mr.Weasley seront le couple. Il y a plusieurs amis de ce couple dans l'histoire. Je charge Mr.Potter et Mr.Thomas, ainsi que Mr.Londubat et Mr.Finigan joueront ce rôle. Il y a des personnes qui cherchent à nuire les héros, c'est à dire: le couple, ce sera...Mr.Malefoy et Miss Parkinson... _Quoi des Serpentars! Dans notre pièce! s'exclama Dean. _Oui, nous faisons ce projet avec le professeur Rogue...Il y aura d'autre élèves de Serpentar qui vont jouer ce rôle mais c'est Rogue qui va les choisir...Elle désigna encore tout le reste de la classe pour des personnages comme prêtre, vendeurs, ministre de la magie, etc...A la fin de cette heure de classe, Ron et Hermione ne se parlaient plus, pas parce qu'ils étaient fâchés, mais parce qu'à chaque fois qu'ils se regardaient, ils rougissaient et leur maladresse se multipliait. _Alors Granger. Toujours Hermione Granger connait la réponse? demanda mesquinement Malefoy. Mais Crabe fit: _Mais non, Hermione Weasley! Harry leur fit une grimace et emporta ses amis dans la salle commune de la tour de Griffondor. Les semaines passaient et les heures de théâtre devenaient de plus en plus appréciées par les élèves, même par Ron et Hermione qui, même s'ils jouaient un couple restaient amis. Juste amis. Mais, alors qu'il répétaient avec Harry dans la salle commune après les vacances de Paques, ils eurent une surprise...Harry qui tenait la pièce dans les mains lisait et leur disait ce qu'il devaient faire. _Maintenant, il faut que Hermione tu prenne la main de Ron, et tu lui dit: "William, tu ne sais à quel point je t'aime..." Hermione s'exécuta en rosissant légèrement. Harry qui était en train de manger une carotte et qui lisait en même temps la feuille faillit s'étouffer. _Quoi? demanda Ron inquiet. _Tu ne sait pas? Tu n'as pas lu la pièce? _Non, j'ai perdu la mienne. Et toi? Hermione? _Je n'ai pas eu le temps de la lire, Pourquoi? Harry? _Ben...comment dire? C'est qu'il faut que...vous vous...embrassiez... _QUOI? firent-ils en même temps. _C'est pas moi qui est fait la pièce, allez voir McGonagal! Comme par hasard, celle-ci passait par là. _Professeur! cria Hermione en se précipitant vers elle. _Oui, Miss Granger? _Dans la pièce, il faut que Ron et moi nous embrassions, pouvez-vous changer cela? _Non, Miss Granger. Cela pimente un peu la pièce, et puis, ce n'est qu'un baiser de rien du tout. _Désolé professeur, intervint Harry, mais ce n'est pas ce qui est écrit sur la feuille. Il lit à haute voix: " Ils se donnèrent un baiser passionné."Ron grimaça. _Je vous en prit, professeur! _Non, non c'est non! Sur ce elle tourna les talons et s'éloigna. _Très bien, nous n'avons pas le choix. Fred et George entrèrent par la Grosse Dame, suivis de Ginny. _Salut Harry! dit-elle en déposant un baiser sur ses lèvres. _Salut Ginny...répondit-il avec un sourire. Elle s'installa sur un fauteuil à coté d'eux alors qu'elle entendait son frère dire: _Je ne peux pas continuer. Je ne la jouerais pas, cette pièce! Je n'ai rien contre toi Hermione, mais...quand même! _Vous savez, vous allez la jouer devant toute l'école! fit Fred. _Oui, toute l'école! confirma George. _Mais qu'est-ce qu'il y a? Pourquoi vous ne voulez pas la jouer? demanda Ginny. _Parce qu'ils doivent s'embrasser. répondit Harry. Fred et George qui étaient en train de parler s'arrêtèrent tout de suite et regardèrent le "couple". _Vous...vous devez vous embrasser! fit Fred _Oui, et McGonagal n'a pas voulut changer l'histoire! Un sourire sournois se forma sur le visage des jumeaux. _On vous cache! Allez faîtes le! _Tu as un problème! Tu es fou! s'exclama Hermione, elle recula; elle et Ron alors que les deux Weasley les encerclaient. _Je sens de l'amour dans l'air! fit George en souriant. _Mais arrêtez, voyons! Je ne peux pas faire ça! On est juste amis!! fit Ron en se tournant vers Hermione. _Tes frères abandonnent facilement ou ils attendent d'avoir ce qu'ils veulent. _Ils attendent d'avoir ce qu'ils veulent... _Très bien, alors pour s'en débarrasser. Elle se mit sur la pointe des pieds et déposa un baiser sur les lèvres de Ron. Qui ne dura qu'une seconde. Harry, amusé par la tournure que prenaient les évènements déclara: _Un baiser passionné! Par un petit truc de rien du tout. _La tu vas trop loin! s'exclama Hermione. Tu t'y mets aussi? _De toutes manières, vous êtes obligés, et vous allez devoir passer devant tout le monde! C'est un concours contre les Serpentards! lança Ginny. _Oh, mais...si vous insistez! déclara Ron en soupirant et se tournant vers Hermione. Celle-ci, rougit sans le vouloir, même si elle s'apprêtait à embrasser un garcon, même qu'elle n'aime pas, elle ne pouvait s'empêcher de rougir. Ron se pencha vers elle et laissa leur lèvres se toucher. D'abord timidement, et maladroitement, puis de plus en plus "sauvagement" et enfin, comme le voulait la pièce de théâtre, passionnément... Ils ne remarquèrent même pas que tout le monde était parti pour leur laisser un peu d'intimité. Et si Ron avait raison finalement, et si il éprouvait vraiment quelque chose pour elle? Effectivement ce ne serai pas trop déplaisant...Il passa ses bras autour de sa taille, et la pressa contre lui, elle, passa ses bras autour de sa nuque. Finalement, lorsqu'ils se séparèrent, elle le regarda longuement et puis lâcha: _Ron...je crois que...je t'aime! _Tu...tu crois que...tu m'aimes? Elle acquiesça... _Et ça fait quoi d'être amoureux? _Une sorte de...d'émotion, de feux d'artifices...Pourquoi? _Parce que...je crois que c'est ce que je ressens...C'est bête! _Non...c'est merveilleux...fit-elle en l'embrassant à nouveau. Finalement, la pièce ne leur poserait aucuns problèmes!
Harry+Ginny
On va commencer par Harry Potter, et Ginny Weasley...(Mes fics sont juste des fics de romance!)
1:
Harry attendait dans la salle commune que Ron et Hermione reviennent de leur cours d'arts dramatiques. Comment se fesaient-ils qu'ils puissent avoir choisi cette matière. En 6eme année, il fallait avant les arts, réviser les cours! Dans un an ils auraient les ASPICS à passer. Il ne fallait pas l'oublier! Soudain, la porte de la Grosse Dame pivota et laissa passer la plus belle fille qu'Harry n'est jamais vu. Une boule dans son ventre lui noua les intestins. Il se senti rougir en voyant Ginny s'avancer vers lui.
_Salut Harry! fit-elle en souriant, l'air joyeux.
_Sam...salut...Ginny...bredouilla-t-il.
_Tu n'aurais pas vu Fred et George? Ils m'ont prit mon livre de potion et si Rogue voit que je n'ai pas mes affaires...elle traça un trait imaginaire sur sa gorge montrant que si elle ne l'avait pas, ce fameux livre, elle aurait une grave punition.
_Non, je...je ne les ai pas vu...répondit-il en reprenant un peu ses esprits. Elle s'assit sur l'accoudoir du fauteuil, près de lui.
_Je peu resté avec toi pour les attendre, j'imagine. Mais, qu'est-ce que tu as? J'espère que tu n'as pas de fièvre! Fit-elle l'air inquiète en se penchant et posant une main sur son front. Harry se sentit rougir comme pas possible. Les mèches rousses de Ginny effleurèrent les joues du garçon. Soudain, les deux jumeaux Weasley arrivèrent à leur tour, et pour faire une farce à Ginny, la poussèrent alors qu'elle leur tournait le dos. Elle tomba alors sur Harry, en poussant un petit cri de surprise. Leur nez se touchaient presque...Le garçon n'aurait su dire si il était tout rouge, ou tout blanc...Blanc de gêne et rouge de honte. La jeune fille de 15 ans sourit et lâcha:
_Tient, tu es tout rouge...Se qui confirma ses craintes. Elle ne se releva pas pour autant.
_Tu...tu es mal à l'aise?
_Oui...c'est sur, une fille est carrément sur moi...
_Je...je ne savais pas que tu étais amoureux de moi! Il se contenta de hausser les épaules. Elle disait toujours les choses avec une sorte de direct qu'il trouvait toujours sur arrêt. Il acquiesça, de toutes manières, il était surement très rouge, alors encore un peu ne lui fera pas de mal...
_Alors c'est parfait...murmura-t-elle en joignant ses lèvre aux siennes. La Grosse Dame laissa passer deux visiteurs qui se figèrent en voyant les deux amants. Aussi figés que Fred et George. Lorsque Ginny se sépara enfin de Harry, elle sourit gentiment, et se releva avant de filer dans ses dortoirs, en prenant au passage son livre qui était resté dans les mains de George. Celui-ci ne fit rien pour le retenir, il était bouche bée. Comme Fred, Ron et Hermione qui étaient revenus de leur cours.
Harry se releva, gêné de s'être donné en spectacle, et leur adressa un petit sourire timide. Hermione poussa un petit cri perçant avant de se propulser dans ses bras.
_Je ne savais pas que vous étiez ensembles, Harry! C'est génial!
_Pour te dire la vérité, moi aussi je ne le savais pas...Ron se rapprocha, lui donna une tape amicale sur l'épaule et lâcha:
_Ben...c'est mieux que le crétin du coin, vieux...Fred et George commencèrent alors à glousser:
_Oh LES AMOUREUX! HARRY ET GINNY! GINNY ET HARRY! H+G égal AMOUR POUR TOUJOURS! Harry se jeta sur eux, les faisant tomber à terre, et plaqua une main sur leurs bouches pour qu'ils se taisent. Ron et Hermione vinrent aussitôt l'aider. Il alla dormir, épuisé, il avait révisé avec Ron et Hermione pendant toute la nuit, il devait être 3 heures du matin, facile! Le lendemain, alors qu'Harry descendait prendre son petit déjeuné à la Grande Salle, il vit Malefoy à l'autre bout de la table des Serpentards crier à son insu:
_Oh, vous connaissez la nouvelle?! Potter et la petite traître à son sang de Weasley sortent ensembles! Faudrait les féliciter! Jamais ils n'auraient pu tomber plus bas!
Harry se précipita sur lui, sauta sur la table et l'étrangla comme il pouvait alors que tout les Serpantards autour tirez leur baguettes. Chacun rata son coup. Finalement, il lâcha Malefoy, qui respirait à peine.
_Tu es fou! cria-t-il.
_Pas plus que toi...Il remarqua que tous les élèves de Griffondor le regardaient avec admiration, tous, et particulièrement Ginny. Lorsqu'ils s'assit prés d'eux, tout le monde applaudit. Ron lui lâcha:
_Waouhhh...tu lui en a mit une raclée à Malefoy! Il se servit à manger, et commença son petit déjeuné. Ginny le regardait toujours.
_Eh, Harry...c'est vrai ce qu'a dit Malefoy? Pour toi et Ginny? demanda Dean Thomas.
_Ben...euh...je...
_Oui! fit Hermione à sa place.
_Cool...souffla-t-il, j'ai jamais eu de petites amies...t'es un sacré veinard! Il sourit, et mangea avec appétit. Après le petit déjeuné, Ginny le coinça dans un coin, seul. Elle vint se blottir dans ses bras et demanda à voix basse:
_Pourquoi est-ce que tu l'as frappé?
_Je supporte qu'on m'insulte, mais pas toi...fit-il sur le même ton et en lui caressant tendrement les cheveux.
Bienvenue!
Bienvenue sur mon nouveau blog! J'en ai déjà un autre mais il est chiant parce que c'est sur le Maghreb au Moyen Age. En fait c'est à l'école qu'on fait ça, et le prof nous a demandé de faire des recherches et tout sur ce sujet, moi j'ai opté pour l'ordi, et donc un blog, parce que j'adore tout ce qui est internet et ordi! Ce blog-ci, est dédié à toutes les fics sur le fantastiques.... Harry Potter, Arthur et les Minimoys, Eragon, Henri et Holly Bleu, Narnia, Lyra et Will, Guillemot et Ambre, Yorsh et Robie, Thorak et Renn, Artemis et Holly... Je vous mettrez aussi pleins d'infos sur nos auteurs préférés! Et pleins d'photos!
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